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2003/09 Manager - Cuban Girls in “Do It Yourself”:
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| By Manager on Friday, September 05, 2003 - 03:21 pm: Edit |
Les petites Cubaines en "Do it Yourself"
Guide pratique pour connaisseur
Cuba a la réputation d'être l'île de l'Amor. Après une dizaine de séjours, je peux garantir que cette réputation est amplement méritée.
Les chicas cubanas sont les plus… agradabile, "agréables" du monde.
Pourquoi un guide " Do It Yourself " ? Parce que pour vraiment avoir du plaisir avec les filles à Cuba, il faut tout faire soi-même. Pas d'agence de voyage, pas de guide touristique, pas d'entremetteurs. Il faut draguer seul ou à la limite avec un copain.
En suivant ce guide, vous augmenterez votre plaisir et éviterez de possibles ennuis, car beaucoup de fausses idées courent au sujet du tourisme à Cuba.
Ce qu'il ne faut pas faire
- Partir avec un voyage organisé ou circuit touristique.
- Loger dans un hôtel, sauf les deux premiers jours
- Entreprendre ce voyage avec des idées politiques, culturelles et sociales préconçues. Keep cool and enjoy !
Conditions de base
- Louer une casa particular (voir lexique)
- Louer si possible une voiture (à 4 portes et avec climatisation)
- Apprendre quelques mots ou phrases en espagnol
- Avoir une carte de crédit pour les européens et autres citoyens du monde, des dollars en cash pour les citoyens USA. (en coupures pas plus grande que 20 dollars)
- Ne pas oublier son sourire et sa joie de vivre
Trois catégories de femmes
- Les chicas cubanas, la majorité les jolies filles de l'île (entre 18 et 28 ans)
- Les jineteiras , ou prostituées professionnelles
- Les " Autres ", celles qui n'entrent pas dans les deux premières catégories
 |  |  |
| Chicas cubanas | Jineteira | Les "Autres" |
Ce guide traite de la première catégorie. Les jineteiras (voir lexique) fonctionnent à peu près comme les chicas. Quant aux " Autres ", saluons les avec tout le respect qu'on leur doit .
Lexique
Allure: la chica cubana est séduisante, sexy, coquette, aguicheuse, mais aussi quelque fois timide, réservée, eau (temporairement) dormante
Au lit: très agréable, pas de pudeur hypocrite. Une soirée ou sortie se termine nécessairement par la baise et gare à celui qui manque à cette civilité élémentaire, même pour une première rencontre. On vexerait la Demoiselle ou on passe pour un pédé ! S'endormir sans faire l'amour est aussi incongru que de cracher dans la soupe ou se mettre au lit avec des chaussures sales.
Auto stop: en cubain botella, c'est le meilleur moyen pour draguer tout en pouvant choisir. Le problème des transports n'ayant pas encore été résolu, et tant s'en faut, le brave peuple doit se débrouiller en utilisant fréquemment ce mode de déplacement gratuit. A nous d'en profiter, en offrant généreusement le trajet… et plus si entente !
Bouffe: la qualité de la nourriture offerte aux chicas n'a pas d'importance. Que ce soit au restaurant ou chez soi. Tout ce qu'elles ne connaissent pas, elles n'aiment pas. Elles ignorent presque tout en matière culinaire, période spéciale oblige ! Aucune curiosité gastronomique. Elles se nourrissent avec du pollo frito, du riz et haricots, des œufs au plat, des tartines de thon, des pizzas, des spaghetti et de la cuisine cubaine que leur prépare leur maman. Comme la plupart des Cubains, elles détestent la cuisine épicée. Les épices elles les ont dans le sang. Mais elles crèvent souvent de faim ; il est donc miséricordieux d'offrir un gros boccadillo de lechon vite fait bien fait et hop, en la cama . Le temps passé à table est du temps perdu.
Cadeaux: le meilleur des cadeaux reste le dollar! Ne croyez pas que les filles se contenteraient des quelques bimbeloteries, morceaux de savon, crayons, chewing gommes, chocolats que vous auriez apportés. Nous ne sommes plus au temps du colonialisme !
Carte d'identité: pour mieux pouvoir être contrôlé, chaque Cubain doit toujours avoir sur lui son carnet (carte d'identité). La première question à demander à une fille, c'est si elle a son carnet avec elle. Il vaut mieux vérifier de visu, surtout si la demoiselle est jeune. Ne jamais fréquenter de filles en-dessous de 18 ans, bien que les Cubaines baisent dès l'âge de quinze ans. Vérifier la date de naissance inscrite sur le carnet ! La Police est intransigeante et peut vous attirer de gros ennuis..
Casa particular: la première chose que demande une chica, après votre nom et le pays d'où vous venez, est : " ¿¿Esta en un hotel o en una casa particular ?" " Logez-vous à l'hôtel ou chez l'habitant ? ". Question basique, car seule la casa particular vous permet d'amener une fille dans votre lit, autre que votre femme légitime. Et qui amènerait sa bière à Munich ? Pour goûter aux charmes de ces extraordinaires filles, l'hôtel étant exclu, la voiture pas à conseiller, il ne reste donc que de loger dans une chambre, un appartement, une maison louée à un Cubain, avec l'autorisation du gouvernement (30 à 50 dollars par jour). C'est un peu le système du Bred & Breakfast. Vous avez le lit et quelques fois vous avez aussi le petit déjeuner (voir lexique). Il faut cependant préciser que certaines filles (et surtout les jineteiras) connaissent des adresses où le locataire prête son lit pour une ou deux heures contre 20 dollars. Ce pis-aller n'est pas à recommander, mais en cas de nécessité, à la guerre comme à la guerre ! Question de sécurité cependant, il n'y a rien à craindre. Cuba est le pays où la sécurité est la plus grande au monde (pour les touristes !).
Curiosité: la Cubaine est très curieuse, surtout concernant vos affaires personnelles. Sitôt entrée chez vous, elle s'empresse d'inspecter votre armoire, vos tiroirs, vos valises, votre nécessaire de toilette. Elle le fait avec beaucoup de tact en demandant : ¿¿te molesta ? La laisser faire, car on a le devoir de contribuer à son instruction de culture générale, en lui montrant des échantillons de la société de consommation capitaliste. Mais constamment surveiller que rien ne disparaisse.
Danse: la chica ne peut pas vivre sans danser. Elle danse même mieux qu'elle ne baise ! Qui a vu une Cubaine danser spontanément dans n'importe quel lieu où une musique de salsa retentit, sait de quoi il est question. C'est l'Erotisme à l'état pur, c'est unique, unique au monde. (voir Le truc !)
La danse du ventre arabe la plus lascive ou le strip-tease intégral le plus osé, sont en comparaison… du pipi de chat.
Déjeuner cubain : c'est une spécialité locale (desayuno cubano) pour les connaisseurs : une bonne pipe au réveil matinal, histoire de bien commencer la journée. C'est meilleur qu'un cappuccino !
Do it yourself: à Cuba la prostitution organisée n'existe plus, comme avant la Révolution. Les bordels, les mama-san, les maquereaux ont disparus. Il reste quelques rabatteurs, mais il est facile de les éviter.
Par conséquence, chacun doit se débrouiller pour son propre compte. C'est pour cela que la méthode du " do it yourself " est la plus efficace. En suivant ce guide, vous ferez des découvertes inoubliables tout en ayant un plaisir inestimable. Et tout cela avec un rapport qualité/prix incomparable..
Drague: où trouver les chicas cubanas ? Comment les draguer ?
Ces merveilleuses créatures se rencontrent partout. La drague n'est pas difficile, car généralement ce sont elles qui prennent l'initiative.
Le meilleur moyen de les choisir est l'auto-stop (voir lexique), la botella en cubain, à condition… d'avoir loué une voiture (50 à 80 dollars par jour). A cause de la carence des transports publics, l'auto-stop est pratiqué sur une large échelle par toutes les couches de la population. Il est donc facile de sélectionner. Puis avec quelques notions d'espagnol, l'affaire généralement est dans le sac ou plutôt dans le lit.
Le deuxième moyen est de se promener dans la rue, de visiter les endroits fréquentés tels les supermarchés et magasins où les prix sont en dollars. Il y a toujours quelque petite chica en vadrouille, à la recherche d'un sponsor pour un jean, une paire de Nike ou un petit blumer (slip) sexy. Un échange de regard, un sourire, quelques mots et c'est bon… on embarque.
Troisième possibilité: les bars, discothèques, Casa de la Musica et autres lieux de distractions. Devant certaines disco, un essaim de filles (chicas et/ou jineteiras) attendent le touriste pour pouvoir pénétrer dans l'établissement, car en principe elles n'ont pas le droit d'entrer seules. Mais la raison majeure, c'est qu'elles n'ont pas les dix ou vingt dollars pour le ticket d'accès. A condition de savoir se décider vite, il est possible de faire d'excellentes prises. Mais qu'on se rassure, à l'intérieur on peut toujours changer de partenaire, si on constate d'avoir fait un mauvais choix ! Les Cubaines ne se vexent pas de telles rebuffades, elles ont tellement l'habitude d'être frustrées par la vie quotidienne.
Drogue: à Cuba, on oublie. Toute drogue est considérée comme drogue dure.
Entremetteur: rares mais à éviter absolument. Il y a assez de filles dans la nature. Si on est abordé dans la rue par un gars, offrant : hôtel, paladar (restaurant), cigares ou chicas, ne pas répondre ou s'en débarrasser par un énergique :"no molestar ! " (ne me dérange pas !).
Famille: l'influence de la famille dans la vie cubaine est fondamentale. C'est elle qui permet de survivre à ce peuple formidable. La jeune Cubaine se prostitue pour le bien de SA famille ! Il y a donc un souci humanitaire de les aider dans cette voie. Un changement éventuel de système économique aurait pour conséquence la disparition de ces relations privilégiées avec les chicas cubanas. Tout rentrerait dans le schéma de la prostitution traditionnelle. La majorité de ces filles devraient retourner à l'usine, aux comptoirs, caisses ou bureaux, au lieu de jouir un peu de la vie. Parce qu'elles ne sont pas malheureuses, au contraire. Elles savent comment joindre l'utile à l'agréable.
Fellation: la pipe se nomme mamadita en cubain. Elle se pratique avec ou sans préservatif, la salive étant un bactéricide reconnu. D'autant plus que l'éjaculation est rarement acceptée dans la bouche.
Comme les bons vins, plus la chica cubana prend de l'âge et mieux elle suce !
Ghetto touristique: afin d'empêcher que les touristes se mélangent trop avec la population, le Gouvernement a décidé de les parquer dans des sortes de ghettos, dans lesquels les Cubains ne sont pas admis, sauf pour y travailler. Mais gare à celui ou celle qui entretiendrait des relations autres que strictement professionnelles avec un étranger. Les plus connus sont Varadero et Caya Coco ; à éviter absolument !
Habillement: leur garde robe se réduit généralement à un ou deux jeans, quelques tee-shirts et à une vielle paire de basket. Pas de bijoux, pas de tatouages. C'est ce qui différencie une chica de bon aloi d'une jineteira. Si votre copine porte des baskets neuves, c'est qu'elle vient d'avoir une aventure avec un de nos congénères. Notre tâche est de contribuer à compléter leur garde robe, d'autant plus qu'une belle paire de jeans ne coûte que 12 dollars !
Hôtel: Il y a de nombreux et très beaux nouveaux hôtels à la Havane. Ils sont chers et il est impossible d'y amener une fille, même en payant le concierge. Donc à éviter sauf pour les deux premiers jours, ce qui permet de chercher tranquillement une casa particular.
Hygiène: impeccable ! On ne trouve pas une Cubaine même très bronzée (par la Nature), sentant la transpiration ou la moule pas fraîche ! Elles sont toutes fan du savon, déodorant et de l'usage du bidet… constitué par la cuvette des WC.
Jalousie: la Cubaine est jalouse… mais compréhensive à condition d'être honnête envers elle. Eviter les intrigues multiples simultanées. Rendez les… successives !
Par contre, vous n'aurez pas de problèmes avec la jalousie des mecs cubains. Ils acceptent sans autre que leur sœur, cousine, bonne-amie fornique avec un touriste. Ils comprennent et admettent cette prostitution de nécessité (prostitution de necessitad), surtout s'ils peuvent en profiter matériellement..
Jineteira: le nom de jineteira vient de écuyère, cavalière ou accompagnatrice. Ce sont en fait des prostituées professionnelles, souvent jeunes, très jolies, du type pop star ou photo-modèle. On les reconnaît facilement parce que très bien habillées, chaussures ou bottes impeccables, bijoux, montre… et tatouages. Elle fréquentent des bars ou discothèques branchées, car elles ont déserté la rue à cause des contrôles policiers devenus trop fréquents. Les meilleurs lieux de rencontre changent souvent, mais en se renseignant on trouve facilement.
Leur tarif est de 100 dollars ou plus ou moins, selon votre talent de négociateur. C'est le style de nana 3 F (Find them, Fuck them, Forget them), en français 3 B (Branchée, Baisée, Balancée). Elles font à peu près tout ce qu'on leur demande, éventuellement contre supplément. Leur grand avantage est qu'elles ne s'accrochent pas à vous, à moins qu'elles soupçonnent votre très très gros… portefeuille. Elles font souvent les bourses… de vos poches, il faut donc bien les tenir à l'œil.
Généralement elles ne sont pas maquées, même si quelque fois un membre mâle de la parenté assure une certaine protection… au gagne-pain familial.
Langue: pratiquement la seule langue connue est l'espagnol. Voici quelques expressions et vocabulaires indispensables :
Baiser = Singar, chingar, coger, fornicar, fucky fucky
Bite = Pinga
Chatte = Bollo, chocho, papaya, papo, raja
Caresse-moi = Acaricia -me
Combien ça coûte = ¿Cuánto cuesta?
Trop cher = Demasiado caro
Faire l'amour = Hazer l'amor
Fellation = Mamadita, tocar la flauta
Sperme = Leche
S'il vous plait = Por favor
Merci = gracias
Tu es un bon coup = Es una buena hoja
Voulez-vous coucher avec moi ? = ¿¿Quieren singar con mi? ou Fucky, fucky!
Logez-vous à l'hôtel ou chez l'habitant ? = ¿¿Esta en un hotel o en una casa particular ?
Oui = Si
Non = No
Salut = Hola
Fous-moi la paix = No molestar
Les trois rêves: le rêve de base est de trouver un novio ou ami étranger qui leur apportera ce que les garçons cubains ne peuvent pas leur donner : habits, chaussures, petits bijoux ou cadeaux, parfums, cigarettes, sorties, bouffe et boissons… pour elles et leur famille.
Le rêve no 2, si la liaison continue, est de combler des besoins moins élémentaires : gravador ou radio enregistreur, téléviseur couleur, bicyclette, autres investissement mobiliers ou même immobiliers oscillant entre 200 et 500 dollars. Le gouffre est vite atteint ! Et elles ont un talent tout particulier de vous faire perpétrer le dernier pas.
Le rêve ultime est de se faire épouser par un Européen et quitter Cuba ! Mais elles y reviennent d'ailleurs après quelques mois ou années, parce que le mal du pays, la fameuse Cubania, finit toujours par mettre fin irrémédiablement à leur escapade.
Lesbiennes: rares. Pour avoir avec deux filles une vraie partie participative à trois, il faut que l'une d'elles soit… gouine !
Le truc: vu l'exiguïté et la promiscuité des logements, la Cubaine n'a pas l'habitude d'être expansive et bruyante au lit. Elle aurait plutôt tendance à bouger peu et à jouir en silence. Le truc magistral pour qu'elle ( et vous) se déchaîne, est de mettre un bon disque de salsa, de se coucher sur le dos avec la chica à califourchon et de lui demander de bouger ses hanches, son ventre et son cul comme si elle dansait. C'est géant et inoubliable.
Louer une voiture: C'est la meilleure solution pour draguer, car on peut bien choisir parmi les jolies auto-stoppeuses. Il est facile de louer une voiture soit à l'aéroport, soit en ville dans une des nombreuses agences. Le prix est de 50 à 100 dollars par jour. Circuler à la Havane est facile, on trouve (encore) à se parquer partout. La Police est très compréhensive envers les touristes.
Sans voiture on peut se débrouiller avec des taxis ou les petits véhicules jaunes motorisés en forme d'œufs. Leur conducteurs ont souvent une formation académique très élevée. Excellente source de renseignements.
Musique: la Cubaine ne peut pas vivre sans musique. A bonne entendeur !
Parfum: la chica raffole des parfums. Elle a du goût et ne se contente pas de produits bon marché. Elle utilise indifféremment des eaux de toilette féminines comme masculines. Mettez sous clé vos vaporisateurs et autres parfumeries, car c'est l'occasion qui fait le larron !
Pédé: longtemps pourchassés par les sbires de la Révolution, les homosexuels (maricon) peuvent actuellement vivre leur vie. Les gays sont cependant une minorité, car le mâle cubain est plutôt du genre macho, baiseur, séducteur de nanas.
Pinga: c'est le sexe masculin dans toute sa splendeur. Terme très utilisé dans le langage courant, comme en français le mot de Cambronne. A ne pas confondre avec le même mot brésilien, qui veut dire… boisson alcoolique.
Protection: toujours couvert ! L'usage du préservatif est indispensable. Se méfier des filles qui ne le demandent pas spontanément.
Race, couleur: toutes les races, toutes les nuances de couleurs, tous les métissages. Il y en a pour tous les goûts. Entre Cubains il existe cependant un racisme tangible, mais avec le touriste, ce qui compte c'est uniquement le dollar !
Regard: la Cubaine regarde les hommes comme nous les mecs regardons les nanas. Elle vous jauge d'un seul coup d'œil comme un maquignon le fait pour un taureau ou un étalon. Elle vous palpe mentalement la bite et les couilles pour s'assurer de la virilité de votre matos. On répond avec un gentil sourire qui est généralement rendu (voir " tirer la langue ")
Rupture: il y a deux moyens de rompre avec une chica cubana sans trop la vexer :
- Déclarer qu'on est tombé amoureux d'une autre chica
- Laisser entendre qu'on est fauché
Salsa: ou la nourriture de base de la chica cubana ! Tener salsa, c'est avoir du pep.
Senior: dans aucun pays au monde un homme d'âge mûr, c'est à dire passé la cinquantaine (ou plus), ne se sent autant redevenir le séducteur qu'il était à vingt ans ! La femme cubaine apprécie les seniors, les persona major. Elle n'a aucun complexe de tomber amoureuse d'un " vieux ", à condition bien sûr qu'il puisse encore pouvoir assurer honorablement au lit (merci Viagra). Et ce n'est pas seulement, parce que le senior a en principe le signe dollar gravé sur le front ! Non, il y a une véritable acceptation des différences d'âges, une recherche et un respect du " Doyen ". On voit souvent un Cubain plus que cinquantenaire se mettre en ménage avec une jeunesse de vingt.
Sexe: la Cubaine aime et a le sexe dans le sang ; c'est naturel, sain, spontané. Elle adore la bite, elle est curieuse, expérimente avec passion, apprend vite, aime les caresses et les jeux de langue, et finit par faire presque tout. Cependant elle n'est pas très portée sur la sodomie. Leur maman a du oublier de lui expliquer combien la chose est jouissive.
Technique: malgré son don naturel pour les choses de l'amour, la Cubaine quand elle est jeune, manque souvent de technique et d'expérience, vu l'absence de revues ou de films pornos, qui sont comme chacun sait, la meilleure des écoles d'éducation sexuelle. Son initiation avec les garçons de son âge se réduit souvent à des baises rapides administrées à grands coups de bites et d'éjaculations précoces. Mais elle improvise et apprend vite. Elle suce volontiers, mais les subtilités d'une pipe bien faite souvent lui échappent. Un vrai travail de prosélytisme est à faire. Se donner la peine de lui apprendre à se perfectionner est une mission humanitaire.
Téléphone: heureusement, le téléphone portable est hors de prix à Cuba, sinon cela deviendrait un véritable fléau. Car la chica cubana pourrait passer sa vie au téléphone. Quand on ramène une fille, la première chose qu'elle fait, est de se précipiter sur le combiné pour appeler n'importe quelle amie ou parente.
Donner son numéro est à éviter, car si on a été gentil (dans tous les sens du terme) la fille vous relancera sans interruption. Donc, si on est volage, pas de téléphone !
Tirer la langue: une langue impertinente qui sort d'un joli minois, veut dire " Tu me plais, tu as une ouverture, faisons quelque chose ensemble ! " Une invitation à ne pas refuser
Travail: les filles qui ont un travail régulier (vendeuses, caissières, employées de bureau, fonctionnaires, policières etc.) sont dans la grande majorité à classer dans la catégorie " Autres ". C'est pour ça qu'elles doivent travailler !
La chica cubana n'a pas d'emploi fixe, car pourquoi se lever tôt le matin, résoudre le problème dramatique du transport, endurer une journée pénible de travail, pour un salaire de misère ? On laisse ces activités besogneuses aux moches, aux grosses, aux non-baisables, aux militantes.
De ce fait la vraie chica cubana est disponible 24 heure sur 24 et 7 jours sur 7 !
Triolisme: ou partie à trois. Bien que les tendances lesbiennes chez les cubaines soient rares, elles acceptent cependant volontiers de faire l'amour en compagnie d'une autre fille. Car avec un touriste inconnu, ça les sécurise. Mais c'est plutôt chacun son tour, sans véritables jeux à trois ! Là aussi quelques bons films pornos (strictement interdits, à ne pas prendre dans vos bagages) donneraient de nouvelles idées bienvenues ainsi qu'une éducation plus achevée.
Vibromasseur: ces instruments de plaisir, appelés consolador en cubain (consolateurs), sont introuvables vu la carence complète de sex-shop. Ils sont remplacés par divers fruits et légumes ou autres substituts naturels. En apporter peut être utile, juste pour le plaisir. Les filles apprécient !
Virginité: Petite annonce : " Est recherchée pour étude psycho-medico-sociale, une jolie cubaine de plus de quinze ans encore vierge. Rémunération exceptionnelle ! " L'oiseau rare n'a jamais encore été déniché.
L'anniversaire du quinze ou quinze ans, constitue, le passage de l'enfance à l'âge adulte, soit la permission officielle d'avoir des relations autres qu'amicales.
Passé le quinze, toute fille baisable s'empresse de faire son initiation sexuelle avec ses petits camarades de classe.
Vol: voler n'a pas la même signification répréhensible à Cuba qu'en Europe ou au USA. Dès son plus jeune âge, l'enfant voit son père et même sa mère faire des larcins plus ou moins importants à son travail. En fait ce n'est pas du vol, car la fabrique appartient au peuple donc à chaque travailleur, en bonne logique marxiste. On prend au boulot tout ce qui peut servir personnellement ou qui peut, revendu, compléter son salaire plus qu'insuffisant. A condition bien sûr de ne pas se faire attraper !
Faire donc très attention avec les chicas, car elles ont facilement tendance à considérer ce qui vous appartient comme pouvant aussi leur appartenir. Nous sommes considérés de toute façon comme incommensurablement riches. Surveillons nos poches et mettons tout sous clé.
Conclusion
Même si une législation plus sévère rendrait plus difficile la drague de la petite cubaine, la méthode " Do it yourself " permettra toujours d'arriver au but.
N'est-ce pas vrai ? Bande de baiseurs et de vieux bâtards !
N'hésitez pas à venir visiter ce merveilleux pays pendant qu'il est encore temps. Nul ne sait ce que l'avenir réserve !
Quelques jolies chicas cubanas
PS. Si le Gouvernement venait à interdire les casa paticular, cela signifierait la mort du tourisme à Cuba ! Pour tous les genres de touristes, sauf peut-être pour les Beaufs.
Photos: Cuba 01 Cuba 02 Cuba 03 Cuba 04 Cuba 05 Cuba 06 Cuba 07
Viva Cuba Libre
merci beaucoup!
| By Athos on Saturday, September 06, 2003 - 08:41 am: Edit |
Excellent guide. Thanks.
Cadeaux: le meilleur des cadeaux reste le dollar! Ne croyez pas que les filles se contenteraient des quelques bimbeloteries, morceaux de savon, crayons, chewing gommes, chocolats que vous auriez apportés. Nous ne sommes plus au temps du colonialisme !
Ce n'est pas vrai! Les chocolats sont nécessaires! Est-ce que ce n'est pas vrai, Sandman?
| By Hombre on Saturday, September 06, 2003 - 01:24 pm: Edit |
Manager was asking us for a more accurate translation of "Drague" which the online translater showed as "chat up". Anyone have a more appropriate translation?
| By Athos on Saturday, September 06, 2003 - 02:26 pm: Edit |
"Drague" is slang, Seduction in English.
| By Murasaki on Saturday, September 06, 2003 - 06:51 pm: Edit |
Just wondering where Manager is based. France? Quebec? Another country where French is the native tongue? Was hoping that if he was based in France, maybe he could give us some local info on the mongering scene in Paris...
MurasakiwhowantstovisitParisandgetlaidwhilethere
| By Admin on Sunday, September 28, 2003 - 02:01 pm: Edit |
Admin: Photos integrated